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1.
Medecine d'Afrique Noire ; 69(10):527-534, 2022.
Article in French | GIM | ID: covidwho-2169513

ABSTRACT

Introduction: From January 2020 to December 31st, 2021, an estimated 5,940,000 people have died from COVID-19 worldwide. Case fatality rates vary by country, study setting and time. The objective of the present study was to determine the epidemiological and clinical factors associated with COVID-19 deaths in our department. Material and methods: This was a retrospective, descriptive and analytical case-control study of patients hospitalized in the Pulmonology Department of University Teaching Hospital Joseph Raseta Befelatanana in Antananarivo Madagascar, during the first two waves of COVID-19 in the country, from March to September 2020 and from March to June 2021.

2.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):119, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586685

ABSTRACT

Introduction Madagascar compte actuellement 42°873 cas confirmés, 956 cas de décès et 41 283 cas de guérison de COVID-19 selon l’OMS (09/09/2021). La mesure de la saturation pulsée en oxygène (SpO2) est incontournable devant la discordance possible entre la dyspnée et l’hypoxémie appelée: hypoxémie heureuse ou silencieuse. Nous avons voulu déterminer les corrélations entre la dyspnée et la désaturation, d’une part, et entre la dyspnée et l’étendue des lésions pulmonaires vues au scanner thoracique, d’autre part. Méthodes Il s’agit d’une étude analytique et descriptive auprès des malades diagnostiqués comme COVID-19 confirmés par le test RT-PCR COVID-19 ayant pu réaliser une mesure de la SpO2 et un scanner thoracique, hospitalisés et vus en consultation externe, dans le service de pneumologie du CHU-JRB Antananarivo, Madagascar, de mai 2020 à mai 2021 (12 mois). Résultats Au total, 176 patients ont été inclus dans l’étude avec 56,8°% d’homme (n=100) et 43,1°% de femme (n=76). L’âge moyen des malades étaient de 50,3 ans (écart-type=14,2). Après avoir étudié la corrélation entre la présence ou non de la dyspnée avec les valeurs de la SpO2, nous n’avons pas retrouvé une association significative entre la désaturation (SpO2<93°%) et la dyspnée chez nos malades (OR°: 0,96°;IC95°%°: 0,52–1,76°;p=0,902). Par contre, avec le scanner thoracique, nous avons constaté l’existence d’une corrélation entre les lésions étendues dites très sévères (atteintes parenchymateuses>75°%), et la présence de la dyspnée (OR°: 7,15°;IC95°%°: 1,26–40,31°;p=0,032). Et plus les lésions étaient minimes (atteintes parenchymateuses<10°%), moins il y avait de dyspnée (OR°: 0,41°;IC95°%°: 0,21–0,80°;p=0,009). Nous n’avons pas retrouvé une corrélation entre la dyspnée et l’étendue légère (atteintes parenchymateuses entre 10–25°%) (p=0,154), modérée (atteintes parenchymateuses entre 25–50°%) (p=0,749) et sévère (atteintes parenchymateuses entre 50–75°%) (p=0,079) des lésions sur le scanner thoracique. Conclusion L’examen clinique seul ne permettait pas d’apprécier la gravité initiale de l’infection à SARS-CoV-2. Notre étude montrait une discordance entre la désaturation déjà existante et l’absence de la dyspnée. Par ailleurs, la survenue de ce symptôme signifie déjà la présence des lésions thoraciques très évoluées. Ce qui nous amène à suggérer de prescrire de façon systématique un scanner thoracique, même sans dyspnée, afin de pouvoir déterminer l’étendue exacte des lésions et d’en déterminer la gravité initiale de la maladie.

3.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):126, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586669

ABSTRACT

Introduction La pandémie l’infection à SARS-CoV-2 ou COVID-19 a généré une profonde crise sanitaire dans la majorité des pays du monde, y compris Madagascar, depuis l’année 2020 [1]. L’objectif de la présente étude était de décrire les caractéristiques des patients décédés de COVID-19 vus au service de pneumologie du centre hospitalier universitaire de référence médicale dans la grande île. Méthodes Il s’agissait d’une étude rétrospective et descriptive pendant la première vague de COVID-19 à Madagascar, allant du mois de mars au mois de septembre 2020. Résultats Nous avons colligé 31 patients décédés, soit une létalité hospitalière de 7,67 %. L’âge moyen était de 50 ans, avec une prédominance masculine. Seulement 41,94 % étaient tabagiques. La plupart avaient au moins une comorbidité (64,52 %). Le délai moyen d’hospitalisation par rapport au début des symptômes était de 11 jours. Les syndromes de détresse respiratoire aiguë (32,26 %) et les pneumonies sévères (32,26 %) représentaient les principales complications. La durée moyenne d’hospitalisation était de 7 jours. Conclusion Le taux de létalité globale liée à la COVID-19 à Madagascar fut estimé à 1 % en 2020 [2], mais nous avons trouvé une létalité hospitalière s’élevant à 7,67 %. Les patients décédés étaient essentiellement des hommes jeunes, ayant présenté des complications respiratoires et/ou infectieuses. Bien que notre étude ne soit pas comparative, elle a donné un aperçu sur la mortalité hospitalière due à la maladie à coronavirus 2019.

4.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):221, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586599

ABSTRACT

Introduction L’infection par le nouveau corona virus ou COVID-19 reste et continue à être un sujet d’actualité mondiale. Le scanner thoracique est très utile pour le diagnostic, dans la prise en charge et surtout pour le suivi de la maladie. L’objectif principal de notre étude est de décrire les différents aspects des lésions scanographiques de Covid-19. Méthodes Il s’agit d’une étude descriptive analytique des scanners thoraciques des patients présentant une infection à SARS Cov-2 hospitalisés et vus en consultation externe du service de Pneumologie du CHU Joseph Raseta Befelatanana Antananarivo Madagascar de mai 2020 à mai 2021. Résultats Cent soixante seize malades sur 588 ont été inclus dans l’étude. Le sexe masculin est le plus atteint. L’âge moyen des malades était de 50,39 ans. Les lésions scanographiques sont dominées par les images d’opacité en verre dépoli (93,75 %), suivis des images de fines réticulations (28,97 %), des images en crazy-paving (24,42 %), des images de condensations (24,42 %), de fibrose (17,04 %) et d’épaississements septaux (15,34 %). Ces lésions sont surtout bilatérales et de localisation sous pleurales. La densité de ces lésions peut être de densité variable. Les lésions étaient multifocales, diffuses et focales. Les étendues des lésions varient d’une atteinte minime jusqu’à une atteinte critique du parenchyme pulmonaire. Conclusion Le scanner thoracique avec sa bonne sensibilité et de spécificité, occupe une place prépondérante et constitue un examen clé tant sur le diagnostic en complément du test RT-PCR que sur le suivi durant et après le traitement.

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